L’Union Latine vous propose d’entrer dans son « Musée Virtuel » et d’y flâner à votre guise. Virtuel, ce musée l’est doublement : parce que la visite se fait sur Internet, et parce que ses collections permanentes furent en leur temps des expositions temporaires, dont les œuvres furent rassemblées dans des lieux qu’elles n’occupent plus et dans des périodes qui appartiennent désormais au passé. Mais tout ce qui est éphémère ne mérite pas d’être périssable. Bien au contraire, chacune de ces expositions constitue, par les harmonies nouvelles qu’elle suscite, une exploration originale de la richesse inépuisable du patrimoine latin, une porte secrète qui s’ouvre sur des créations familières ou moins connues, un séduisant voyage dans l’espace et dans le temps. Nous vous invitons à partager avec nous l’émotion de ces découvertes.

Tel qu'il vous est proposé, notre musée ne saurait prétendre porter un regard exhaustif sur « l'art latin », tâche impossible et abstraite, et encore moins être la somme de tous les grands musées du monde, tâche inutile et redondante (il suffira d'établir des liens avec ceux d'entre eux qui le voudront bien). Plus simplement, il va construire son itinéraire au fruit des rencontres, des trouvailles et des coups de cœur qui ont fait émerger un moment de cette beauté chatoyante et charnelle, que les cultures latines ont eue en dépôt et qu'elles offrent désormais à l'attention de tous.

 

La collection permanente, dans laquelle entrent les expositions présentées au cours de ces dernières années par notre organisation, et consacrées à un espace, à une période ou à un thème qui ont marqué l'histoire de l'art et de la latinité.

On pourra ainsi, par exemple, assister, une nouvelle fois, au Retour des anges boliviens, à La procession du Corpus Christi à Cuzco, ou retrouver les mosaïques romaines, essaimées de la Méditerranée à l'Atlantique.

La galerie, ouverte à la diversité des expressions de la création récente ou contemporaine. Dans cette perspective vont être « accrochées » les œuvres de deux jeunes peintres portugais, Pedro Proença et Pedro Calapez, ou les photographies du Péruvien Martín Chambi, l'un des plus grands photographes du XXe siècle.

Les monographies (en projet), sortes d'études transversales, confiées à des spécialistes, sur les courants les plus significatifs de la création au sein du monde latin, réunissant les artistes par delà les frontières (le baroque, le surréalisme, l'art déco,…).

NOTA BENE. Si vous ne voyez pas l'animation ci-contre, vous devez installer Macromedia Flash pour pouvoir naviguer correctement.

Site Internet optimisé pour les navigateurs de 5° génération au moins. Voir l'aide pour plus de renseignements...